Dans une nouvelle vidéo promotionnelle pour le film «The Equalizer 3», Denzel Washington retrace le parcours de son personnage, Robert McCall, dans les deux précédents volets. Le film est attendu dans les salles françaises à partir du 30 août.
Il est de retour. Après le succès des deux premiers volets en 2014 et 2018, «The Equalizer» verra Denzel Washington incarner le personnage de Robert McCall pour la troisième fois, dans le prochain opus attendu dans les salles françaises le 30 août prochain. Une vidéo promotionnelle publiée sur le compte Twitter officiel du film voit le comédien, ainsi que le réalisateur Antoine Fuqua, revenir sur le parcours de cet ancien assassin au service du gouvernement, avant qu’il ne se retrouve dans le sud de l’Italie dans ce nouvel opus où, cette fois, il sera confronté à la mafia locale.
It’s time to catch up with the GOAT. Relive Robert McCall's journey before seeing Denzel Washington in the final chapter. #TheEqualizer3 - exclusively in movie theaters September 1. pic.twitter.com/ZclFfes8OR
— The Equalizer (@TheEqualizer) August 9, 2023
«Dans le premier film, Robert souhaite mener une vie simple», rappelle Antoine Fuqua. «C’est un destructeur contraint. Il vient en aide aux innoncents, ceux qui ne peuvent pas se défendre eux-mêmes», explique pour sa part Denzel Washington, dont le personnage vient au secours d’une jeune prostituée laissée pour morte par une bande de mafieux russes.
«Au début du deuxième film, Robert tente de renouer avec son humanité au contact des autres», continue le réalisateur. Quand ses proches sont froidement assassinés, dont sa meilleure amie et ancienne collègue, Susan Plummer, Robert se lance dans une quête de vengeance sanglante. «La différence est que cela devient plus personnel», souligne l’acteur de 68 ans.
«Ce troisième volet est différent des précédents», promet-il, son personnage se retrouvant dans le sud de l’Italie où il semble avoir trouvé son havre de paix. Jusqu’au jour où il comprend qu’une mère et sa fille, dont il est devenu proche, sont directement menacées par la mafia locale. Selon Antoine Fuqua, la question se pose de savoir si, cette fois, Robert ne se frotte pas à un ennemi trop redoutable, même pour lui. «Il a vécu cette bataille sans fin. Est-il allé trop loin ?», questionne-t-il.