Selon les premières estimations dévoilées par plusieurs médias américains, «Avatar : la voie de l’eau» devrait enregistrer entre 150 et 175 millions de dollars de recettes pour son week-end d’ouverture aux Etats-Unis.
Alors que la rentabilité d’«Avatar : la voie de l’eau» conditionnera la sortie des 4e et 5e opus de la saga, prévus en 2026 et 2028, comme l’a récemment laissé entendre James Cameron, le film pourrait engranger entre 150 et 175 millions de dollars de recettes lors de son premier week-end d'exploitation aux Etats-Unis, selon Variety. Une belle performance si ces chiffres se confirment.
Le très attendu film de James Cameron ferait ainsi mieux que «Top Gun : Maverick» qui, en mai dernier, a réalisé 124 millions de recettes en trois jours, mais moins que le record détenu par «Avengers : Endgame», avant la crise sanitaire. En 2019, le film avait pulvérisé le box-office lors de son week-end de sortie avec 350 millions de dollars (336 millions d'euros) de recettes, réalisant le meilleur démarrage de tous les temps.
Avec une sortie en salles attendue le 16 décembre prochain outre-Atlantique, et dès le 14 décembre en France, reste dorénavant à savoir si ces chiffres seront confirmés et pourquoi pas dépassés.
Un succès au box-office impératif pour être rentable
A ce jour, le premier volet d'Avatar reste le plus gros succès mondial de tous les temps, avec au total 2,9 milliards de dollars de recettes depuis sa sortie en 2009, suivi de «Avengers : Endgame» (près de 2,8) et «Titanic» (2,2), selon les chiffres dévoilés début novembre par le portail de statistiques Statista, prenant donc en compte la resortie en salle d'Avatar, en septembre dernier.
Des records réalisés avant la pandémie, qui a mis a mal l'industrie du cinéma. Le deuxième opus réussira-t-il alors à se hisser à ce niveau ? Il le faudrait, comme l'a souligné James Cameron dans une interview accordée à GQ, puisque selon lui, pour atteindre son «seuil de rentabilité», Avatar 2 devra «être le troisième ou le quatrième film le plus rentable de l'histoire».