Alors que la saison 5 de The Crown mettra en scène le divorce de Lady Di et du Prince Charles, devenu Charles III depuis le décès d’Elizabeth II, une source royale rappelle qu’il ne faut pas prendre la série au pied de la lettre.
Une mise au point. Pas question d’entacher la réputation de nouveau roi Charles III, dont la séparation avec Lady Di en 1992 est au centre de la cinquième saison de «The Crown», disponible à partir du 9 novembre prochain. Prenant les devants, une source royale, citée par le Telegraph, a rappelé hier que la série est «un drame et non un documentaire».
Autrement dit, l’interprétation de cet épisode tragique dans l’histoire de la monarchie britannique dépeint comme «une guerre totale» par Netflix, qui a dévoilé les premières images de cette nouvelle saison ce week-end avec Dominic West dans le rôle de Charles et Elizabeth Debicki dans celui de Diana, n’est pas à prendre pour argent comptant.
Des précisions apportées alors que la cote de popularité du nouveau monarque est grandissante, note le journal britannique, et que la sortie de la saison 5 tombe au pire moment pour le monarque et son épouse, Camilla Parker Bowls, devenue reine consort, comme l’avait souhaité Elizabeth II.
Ce n’est toutefois pas la première fois que l’aspect fictionnel de «The Crown» est pointé du doigt. En novembre 2020, le secrétaire d’état à la Culture Oliver Dowden s’était également exprimé dans le Mail on Sunday sur les libertés prises par la série. Il demandait à l’époque à ce que la plate-forme précise d’emblée qu’elle relevait de la fiction. Une mention qui ne serait pas pour déplaire à Buckingham Palace.