Javier Bardem ne reste pas les bras croisés en matière d'écologie. Fervent défenseur de l’environnement, l’acteur de 50 ans a participé à une campagne de communication orchestrée par Greenpeace et s’est rendu ce lundi au siège de l'ONU, à New York, pour appeler les dirigeants à ratifier un traité international sur la protection des océans d’ici à 2030.
«Nos océans sont au point de rupture et nous en sommes tous en partie responsables», a déclaré Javier Bardem à la tribune de l’ONU, demandant à ce que des actions soient prises «ici et maintenant». «Nous jouons tous dans le film et j’ai bien peur qu’il n’y ait pas de Dwayne Johnson pour nous sauver», a notamment poursuivi l’acteur, faisant allusion au 7eart, rappelant que des mesures sérieuses devaient être mises en place rapidement.
Parmi elles, l’acteur a souligné l’importance de créer des sanctuaires marins, regrettant par ailleurs la décision du président américain Donald Trump de retirer les Etats-Unis de l'accord de Paris sur le climat.
"Nous sommes tous en partie responsables": l'acteur espagnol Javier Bardem lance à la tribune de l'ONU un vibrant plaidoyer pour la protection des océans https://t.co/jrwti8Fmed #AFP pic.twitter.com/lGrr07jGzy
— AFP USA (@AFPusa) August 20, 2019
Avant de prendre la parole aux Nations Unies, l’acteur oscarisé en 2008 pour «No country for old men» avait déployé sur la place de Times Square une banderole frappée du message «Protect the oceans». En arrière-plan, une vidéo, réalisée par l'ONG Greenpeace, appelait à la création immédiate d’un traité global de protection des océans.
Devant les caméras, le citoyen Bardem a souligné l’urgence de la situation et exhorté les dirigeants à signer ce traité précis et sérieux, afin de protéger, d’ici à 2030, au moins 30 % des océans.